Trump signe une loi fédérale de 2025 pénalisant la pornographie non consensuelle

Olivia Carter
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Trump signe une loi fédérale en 2025 criminalisant la pornographie vengeresse

Dans un développement législatif important, le président Donald Trump a promulgué aujourd’hui une loi historique faisant de la distribution de pornographie vengeresse un crime fédéral à travers les États-Unis. La cérémonie de signature à la Maison Blanche a marqué l’aboutissement de plusieurs années de plaidoyer de la part des groupes de défense des droits des victimes et des militants pour la protection de la vie privée numérique qui réclamaient depuis longtemps une protection fédérale complète contre cette forme d’abus numérique.

“Aucun Américain ne devrait avoir à endurer le traumatisme et l’humiliation de voir ses images privées utilisées comme une arme contre lui”, a déclaré le président Trump lors de la cérémonie de signature, avec la Première dame Melania Trump à ses côtés. “Cette législation envoie un message clair que notre société ne tolérera pas cette violation de la vie privée et de la dignité.

La loi SHIELD (Stopping Harmful Image Exploitation and Limiting Distribution Act) établit des peines allant jusqu’à cinq ans d’emprisonnement pour les personnes qui distribuent sciemment des images intimes sans consentement. Cette législation bipartisane a été adoptée par les deux chambres avec un soutien écrasant, reflétant une reconnaissance croissante, au-delà des clivages partisans, de l’impact dévastateur du partage d’images intimes sans consentement.

Des experts en droits numériques de l’équipe CO24 News ont suivi de près le parcours législatif au Congrès. Avant cette loi fédérale, les victimes étaient confrontées à une mosaïque de réglementations étatiques incohérentes, certains États offrant des protections robustes tandis que d’autres ne proposaient qu’un recours minimal.

“Cela crée une norme uniforme de justice, quel que soit le lieu de résidence de la victime”, a expliqué le procureur général Williams lors de la conférence de presse suivant la signature. “Auparavant, les questions de juridiction compliquaient souvent les poursuites, particulièrement lorsque les images traversaient les frontières des États via les plateformes numériques.”

Cette législation intervient dans un contexte d’attention mondiale croissante aux préoccupations relatives à la vie privée numérique. Plusieurs pays ont mis en œuvre des législations similaires ces dernières années, le Canada ayant adopté sa propre loi fédérale criminalisant l’abus d’images intimes en 2022. Cette tendance internationale reflète une sensibilisation croissante à la façon dont la technologie peut être utilisée comme une arme dans les relations.

Les représentants de l’industrie technologique ont exprimé leur soutien à la législation tout en soulignant les défis de sa mise en œuvre. Les principales plateformes, notamment Facebook, Twitter et Google, se sont déjà engagées à améliorer leurs systèmes de détection pour se conformer aux nouvelles exigences fédérales.

L’analyse de CO24 Business indique que les entreprises technologiques pourraient faire face à des coûts de conformité accrus, mais considèrent généralement cette législation comme apportant une clarté réglementaire après des années de navigation entre différentes normes étatiques.

Les groupes de défense des victimes ont célébré l’adoption du projet de loi après des années de lobbying. “Aujourd’hui représente une reconnaissance pour d’innombrables survivants qui ont souffert en silence”, a déclaré Jennifer Martinez, directrice de la Cyber Civil Rights Initiative. “Cette loi reconnaît que les abus sexuels basés sur des images ne sont pas des infractions mineures, mais des violations graves méritant l’attention fédérale.”

La loi aborde spécifiquement les préoccupations concernant les limitations juridictionnelles qui entravaient auparavant les efforts de poursuite lorsque des images étaient distribuées à travers les frontières des États ou sur des plateformes dont le siège social se trouve dans différentes juridictions. Elle fournit également des ressources pour les efforts d’éducation et de prévention.

La législation avait initialement rencontré des obstacles dans les délibérations en comité concernant les préoccupations constitutionnelles de liberté d’expression, mais les législateurs ont finalement élaboré un langage conçu pour résister aux contestations juridiques potentielles en se concentrant sur l’intention et le consentement plutôt que sur le contenu lui-même.

Alors que les Américains mènent de plus en plus leurs relations personnelles en ligne, cette législation représente un changement significatif dans la façon dont la loi fédérale aborde les violations de la vie privée numérique. Au moment où la mise en œuvre commence dans les mois à venir, cette nouvelle protection fédérale offrira-t-elle enfin aux victimes le recours juridique qu’elles attendent depuis longtemps, ou les défis d’application limiteront-ils son efficacité en pratique?


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