Les attaques de missiles entre l’Iran et Israël en 2025 s’intensifient avec un nouveau barrage

Olivia Carter
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Le ciel au-dessus de Tel-Aviv a plongé dans le chaos peu après minuit alors que l’Iran a lancé ce que les responsables militaires appellent sa plus importante salve de missiles contre Israël depuis l’échange d’avril qui a amené le Moyen-Orient au bord d’une guerre régionale. Les systèmes de défense aérienne israéliens se sont activés dans plusieurs villes, les résidents signalant de fortes explosions et cherchant refuge alors que les sirènes d’alerte retentissaient dans tout le centre d’Israël.

“Il s’agit d’une nette escalade par rapport aux attaques précédentes,” a déclaré le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant lors d’une diffusion d’urgence. “Le régime iranien a choisi d’ignorer les voies diplomatiques et de s’engager plutôt dans une dangereuse voie d’agression qui menace non seulement les civils israéliens, mais aussi la stabilité régionale.”

Les Gardiens de la Révolution iranienne ont confirmé l’attaque via les médias d’État, la décrivant comme une “réponse mesurée à l’agression israélienne continue à Gaza, au Liban et en Syrie.” Selon des sources militaires iraniennes, cette dernière salve comprenait des missiles balistiques à moyenne portée avancés capables d’éviter les systèmes de détection.

Les Forces de défense israéliennes ont rapporté avoir intercepté environ 85% des projectiles entrants, bien que les premières évaluations indiquent plusieurs impacts dans des zones non résidentielles près de Tel-Aviv et Haïfa. Les services d’urgence ont été déployés dans toutes les régions touchées, avec trois blessés civils signalés jusqu’à présent.

Cette attaque marque le troisième échange majeur entre les deux adversaires en 2025, après le conflit d’avril qui a vu l’Iran lancer plus de 300 drones et missiles vers Israël en représailles à une frappe israélienne sur un complexe diplomatique iranien à Damas. Cet échange avait suscité une inquiétude internationale généralisée quant à une possible guerre à grande échelle.

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a condamné l’attaque dans les termes les plus forts, déclarant que “les frappes de missiles répétées de l’Iran représentent une escalade dangereuse qui sape les efforts de paix au Moyen-Orient.” Le Pentagone a confirmé que des moyens navals américains dans la région ont aidé aux opérations de défense antimissile, soulignant le soutien militaire continu des États-Unis à Israël.

Pendant ce temps, le Conseil de sécurité des Nations Unies a convoqué une session d’urgence pour demain matin. Le Secrétaire général de l’ONU António Guterres a appelé à “une retenue immédiate de toutes les parties” tout en exprimant son inquiétude que “le cycle de représailles menace d’engloutir toute la région dans un conflit catastrophique.”

Les marchés financiers ont déjà commencé à réagir à la nouvelle, avec les prix du pétrole en hausse de 4,7% dans les premiers échanges asiatiques et les indices boursiers mondiaux en baisse par crainte que l’instabilité régionale n’affecte les approvisionnements énergétiques. Les analystes de Goldman Sachs préviennent qu’un conflit prolongé pourrait faire grimper les prix du pétrole au-dessus de 110 dollars le baril, déclenchant potentiellement des conséquences économiques plus larges.

Pour les Israéliens ordinaires, cette attaque représente encore une nuit de peur et d’incertitude. “Nous avons déjà vécu cela, mais ça ne devient jamais plus facile,” a déclaré Rachel Goldstein, une résidente de Tel-Aviv interviewée en cherchant un abri. “Mes enfants savent maintenant exactement quoi faire quand les sirènes retentissent—aucun enfant ne devrait avoir à vivre ainsi.”

Le moment de cette attaque coïncide avec l’impasse des négociations de cessez-le-feu à Gaza, où les opérations israéliennes se poursuivent après 18 mois de conflit. Les experts régionaux suggèrent que l’Iran pourrait tenter de faire pression sur Israël sur plusieurs fronts, notamment par son soutien au Hezbollah au Liban et aux rebelles Houthis au Yémen, qui ont ciblé les voies maritimes israéliennes.

Alors que l’aube se lève sur un Moyen-Orient tendu, la question cruciale demeure: la réponse d’Israël suivra-t-elle le modèle de représailles mesurées établi plus tôt cette année, ou cette dernière provocation pourrait-elle déclencher le conflit régional plus large que les diplomates s’efforcent désespérément d’éviter?

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