Enquête sur les OVNIS au Canada 2025 : Organisme fédéral chargé d’examiner les observations

Olivia Carter
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Dans une démarche sans précédent qui marque un changement radical dans l’approche du Canada face aux phénomènes aériens non identifiés, le gouvernement fédéral a annoncé aujourd’hui la formation d’un organisme d’enquête spécialisé consacré aux observations d’OVNI à travers le pays. Cette décision fait suite à un rapport détaillé de 280 pages publié par la conseillère scientifique en chef du Canada, Dre Mona Nemer, qui a documenté plus de 700 observations crédibles provenant de personnel militaire, de pilotes commerciaux et de civils au cours de la dernière décennie.

“Les preuves suggèrent que nous avons affaire à des phénomènes qui méritent une enquête scientifique sérieuse,” a déclaré Dre Nemer lors de la conférence de presse de ce matin à Ottawa. “Bien que nous ne fassions aucune affirmation sur des origines extraterrestres, ces observations présentent des caractéristiques de vol et des signatures qui ne peuvent être expliquées par notre compréhension actuelle de la technologie aérospatiale.”

Le Bureau canadien d’enquête sur les phénomènes aériens (BCEPA) nouvellement établi fonctionnera avec un budget initial de 24 millions de dollars sur trois ans. Cette équipe multidisciplinaire comprendra des ingénieurs aérospatiaux, des scientifiques de l’atmosphère, d’anciens experts en aviation militaire et des analystes de données qui utiliseront des technologies de capteurs avancées pour documenter et analyser les futures observations.

La ministre de la Défense Anita Anand a souligné que cette initiative représente un changement significatif par rapport aux approches gouvernementales précédentes. “Pendant des décennies, les signalements étaient soit rejetés, soit classifiés sans enquête appropriée,” a noté Anand. “Ce qui distingue notre approche, c’est une transparence complète avec le public tout en maintenant des normes scientifiques rigoureuses.”

Selon les sources de la division Nouvelles du Canada au sein du ministère de la Défense nationale, l’enquête se concentrera sur trois régions prioritaires : le corridor arctique, où les radars militaires ont suivi de nombreux objets inexpliqués; les zones côtières de la Colombie-Britannique, qui ont connu des grappes d’observations par des aéronefs commerciaux; et les régions rurales du Québec, où de multiples événements d’observation à l’échelle communautaire se sont produits depuis 2022.

Le rapport révèle également des statistiques préoccupantes sur les incidents précédents. Parmi les cas documentés, 68 % impliquaient des objets démontrant des capacités d’accélération et de manœuvrabilité dépassant largement les limites connues des aéronefs. Plus troublant encore, 23 % de ces observations se sont produites à proximité d’infrastructures critiques, notamment des installations nucléaires et militaires.

“Nous abordons cela avec rigueur scientifique, pas avec spéculation,” a expliqué Dre Sarah Chen, physicienne quantique et directrice nouvellement nommée du BCEPA. “Notre mandat est clair : recueillir des données empiriques, analyser les tendances et déterminer si ces phénomènes représentent une technologie avancée d’adversaires étrangers, des phénomènes naturels que nous ne comprenons pas encore, ou quelque chose d’entièrement différent.”

La réaction du public a été mitigée selon les canaux de rétroaction de CO24 Politique. Bien que 62 % des Canadiens interrogés soutiennent l’enquête, des préoccupations concernant la transparence gouvernementale demeurent. Les critiques de l’opposition ont remis en question s’il s’agit d’une véritable enquête scientifique ou simplement d’un exercice de relations publiques conçu pour répondre à la curiosité croissante du public suite à des initiatives similaires aux États-Unis.

L’enquête canadienne suit un précédent international. En 2022, le Pentagone a établi son Bureau de résolution des anomalies de tous domaines (AARO), qui a depuis déclassifié plusieurs incidents convaincants impliquant des aéronefs militaires. De même, la France et le Chili maintiennent depuis des décennies des programmes de recherche scientifique dédiés aux phénomènes aériens inexpliqués.

Le BCEPA commencera ses opérations en septembre 2025, avec des rapports publics trimestriels promis dès le début de 2026. L’initiative comprend un système centralisé de signalement permettant aux citoyens de documenter les observations via un protocole standardisé conçu pour améliorer la qualité des données.

Alors que nous nous trouvons à cette croisée des chemins entre scepticisme et enquête scientifique, une question reste centrale dans cette entreprise : sommes-nous enfin prêts, en tant que société, à examiner objectivement des phénomènes qui défient notre compréhension de ce qui est possible, indépendamment de où cette enquête pourrait nous mener?

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